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  Quelles sont les questions qui vous viennent le plus à l’esprit en ce moment ? Comment y répondez-vous personnellement ? Ou comment essayer de contrôler la détresse que les questions génèrent ? Selon vous, qu’est-ce qui pourrait aider votre communauté et vous personnellement dans cette période de « solitude » qui pourrait durer de nombreux mois […]

  Saigon – Viet Nam   Tout est fermé : école, usine, hôtel, restaurant….   Les rues sont bien aérées, plus de pollution…   Tout le monde est masqué en sortant de la maison, et seulement pour les affaires nécessaires…   Les profs enseignent « on line », les chrétiens « regardent » la messe à la télé…   A

Partager la réflexion  (Sr. Guaracema) 1.            Quelles sont les questions qui vous viennent le plus à l’esprit en ce moment ? a) Comment les personnes font vivre leur famille en vendant des collations, des produits artisanaux et de petits services au coup par coup parviennent-elles à vivre ? b) Que pouvons-nous faire pour alléger les

En Slovaquie, notre vie « confinée » se poursuit sans de problèmes graves, pour le moment. Les jours de Pâques, nous les avons passés dans le silence de nos maisons. Les soeurs enseignant dans les écoles, continuent leur travail depuis la maison. C’est seulement Marietta qui va régulièrement dans son travail. Soeur Marta est à l’hôpital depuis 5

  Comment je vis le confinement ? Comme tout le monde, comme je le peux ! Pour le moment, plutôt bien avec de brèves « décélérations » du moral qui ne durent pas mais me rappellent mon humaine condition, fragile et vulnérable : nous ne sommes pas faits pour un confinement sans perspective. Ceci dit, je suis consciente de ma

J’ai reçu des nouvelles du Docteur Francesco de Vargas, médecin de la communauté de Rome depuis bien des années :   Villa Pacis est actuellement habitée par une seule sœur, sœur Iolanda Manna, âgée de 97 ans, dernière survivante d’une communauté autrefois nombreuse. Malgré les pathologies préexistantes et la récente fracture du fémur, Sœur Iolanda

  Au Mexique, comme dans le monde entier, nous vivons des situations très compliquées. La faim touche les familles que nous accompagnons et qui ont perdu leur emploi de domestiques.   Tout est paralysé et, apparemment, cela durera au moins deux mois de plus.     L’Etat de Nuevo Leon, et plus spécialement la municipalité

Chères sœurs, Nous sommes sur différents continents, mais vivant au même moment. Un virus nous sépare, nous laisse confinés dans nos foyers, mais il peut nous rassembler dans la solidarité et dans les liens d’appartenance à la même famille religieuse. vous aurez des nouvelles de la réalité du Brésil et de nos sœurs à travers

Ce qui se dégage le plus, lorsqu’on écoute les soeurs et les personnes qui nous  entourent, c’est un  mélange d’admiration et de reconnaissance devant le personnel soignant qui multiplie les petits gestes d’attention, de l’angoisse et une impression de tristesse , une certaine gravité où se pointent à la fois de la résignation, de l’abandon et

  Chères sœurs,   Ici en Hongrie, nous allons bien et vivons un confinement moins strict qu’en France.   Nous réalisons la chance que nous avons de participer chaque jour à l’Eucharistie en très petit comité, dans la chapelle de l’école. Celle-ci est suivie d’une heure d’adoration. Notre prière rejoint chacune et l’humanité entière.