Après avoir été traumatisées par l’incendie du Lycée Mwanga, la présence vivifiante et fortifiante de l’équipe internationale dans la vicairie a fait renaitre l’espoir dans les cœurs des Sœurs Congolaises. A Kolwezi, l’accueil a été triangulé par les chants folkloriques, la danse ainsi que les différents discours prononcés par les élèves. Au menu des activités ont figuré, les visites des classes suivies des échanges dans les grands et petits groupes. Le travail d’ensemble avec des enseignants, Directeurs, Sœurs et Hôtes, à Wansela puis à l’école maternelle Nyumba ya Heri a permis des échanges très riches, encourageants l’amélioration de la qualité des enseignements dans les écoles Notre Dame en RDC.

Le travail dans les petits groupes a été une opportunité non seulement de découvrir la créativité et l’originalité des participants dans l’analyse et la présentation de la tâche confiée à chaque groupe, mais aussi une occasion de nous rapprocher davantage les uns des autres.

Pendant ces assises une orientation de Saint Pierre FOURIER qui n’est pas nouvelle pour moi, m’a parlée et a raisonné d’une manière particulière. Il s’agit « de ne pas dissocier la vie religieuse et l’enseignement ». Enfin, les engagements de la CND au Congo ont été mis en place.

Fidélie

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Faire corps et appartenir à la Congrégation.

L’arrivée du réseau éducatif international au Congo, en particulier à « Sainte Anne » (Lubumbashi), notre milieu de travail, fut pour moi un moment de joie immense. Des journées marquées par le partage des expériences scientifiques et culturelles très constructives.

Ce moment d’échange a été très important pour moi. La simplicité, l’esprit d’écoute de chaque membre du réseau m’encourage à faire de même.

Gisèle

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C’était une très grande joie d’accueillir les membres du réseau international de la CND, tant attendu à Lubumbashi et à Kolwezi.  Deux points m’ont touchés le cœur :

1- Les visites des écoles, aucune école n’avait été oubliée 

Dans les visites des écoles : l’assistance aux cours a été une très bonne occasion de se rendre compte de la façon dont les enseignants de nos écoles nous aident dans la mise en oeuvre du charisme de la Congrégation. En donnant cours dans nos écoles, ils participent à la mission éducative de la Congrégation Notre-Dame. 

Point bénéfique ici : Les différents échanges au moment de la mise en commun après avoir assisté aux cours. C’était une bonne occasion donnée aux responsables des écoles de se rendre compte du niveau des enseignants afin d’aider à améliorer ce qui ne va pas ou féliciter l’enseignant pour les progrès réalisés. 

Notre joie d’assistance aux leçons : dans la plupart des classes visitées, les enseignants assurent bien leurs cours et les élèves suivent les leçons avec beaucoup d’intérêt.

Les activités culturelles : des poèmes, chansons, danses, mimes, etc. Le loisir, l’expression artistique font partie de l’éducation de nos enfants. C’était magnifique !

2- Le travail sur ‘Notre tour de main’ et le ‘Pacte éducatif CND au Congo’ par les enseignants, les responsables des écoles et les sœurs.  

Après les  explications claires de Sœur Cécile, j’ai vu les enseignants, les responsables des écoles et les sœurs (délégations internationale et locales ainsi que les conseillères) se mettre en groupe tel qu’organisé par le réseau local.  J’avais peur et me demandais si nous serions à la hauteur du travail. J’ai rejoint le groupe 2 à WANSELA,  et j’ai fait partie du groupe 4 à NDL. J’ai été émerveillée de voir nos enseignants et responsables de nos écoles prendre la chose en main et travailler efficacement. Et quand les groupes ont mis en commun les engagements pour le Pacte éducatif au Congo, j’ai compris que la CND et le Réseau éducatif international de la CND pouvaient compter sur les enseignants du Congo dans la continuité de la mission éducative de toute la CND. La CND est ‘toute petite’ par rapport à la grandeur de la mission éducative.

Main dans la main, CND et écoles Notre- Dame  =  Mission éducative possible.

• Coup de chapeau au Généralat pour cette initiative louable qui a permis de renforcer des liens entre nous sœurs et nos enseignants de nos écoles au Brésil, France et Vietnam. Une expérience riche et à prendre en compte pour les années à venir.

Furaha – Marie-Claire